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ment de l’essuie-glace ar-
rière d’une Peugeot 107.
Ça fonctionne très bien,
mais comme le montre le
graphique de la loi d’entrée-
sortie, obtenue grâce à une
simulation numérique, le
débattement angulaire est
ici limité à 1.88 radians soit
environ 108 degrés.
Si l’on souhaite une plage
angulaire plus importante,
on doit trouver une autre
solution.
Dans les années 90, les
constructeurs ont ainsi pro-
posé une variation permet-
tant au balai de
l’essuie-glace de réaliser des
mouvements plus amples.
La solution ? Ajouter au dis-
positif à quatre barres des
secteurs de roues dentées,
faisant office de multiplica-
présenté précédemment, en
teur d’angle. C’est ce qui est
modifiant judicieusement
par exemple intégré à l’Audi
les paramètres géomé-
A3, et dont l’animation de la
page ci-contre montre le
fonctionnement.
Le graphique de la loi d’en-
trée-sortie montre ici un dé-
battement de 2.73 radians
soit environ 156.6 degrés.
C’est beaucoup mieux !
Mais était-ce obligé de pas-
ser par cette solution
compliquée ? Si on reprend
le dispositif à quatre barres
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